L'auteur inaugure sa narration par l'état de solitude qui est le sien. Etat partagé par le maison de la voyante, Dar Chouafa au fond d'une impasse .La maison porte ce nom vu qu'une voyante y habite .Le rituel organisé par tant Kenza; envoute le petit garçon de six ans qui y trouve un déclencheur efficace pour son imagination débordante.
Après avoir évoqué le Msid , lieu fétiche; et présenté le maître de l'école coranique; homme grand , maigre et barbu au tempérament coléreux , Sidi Mohamed enchaine avec la visite du bain maure qu'il redoute et dont il garde une image plus ou moins péjorative vu qu'il le compare à l'enfer sur terre.
Convaincue d'`être une descendante du prophète, Lalla Zoubida ainsi baptisée la mère du narrateur, profite de tout opportunité pour vanter non sans fatuité , son origine noble ( Ma mère ne manquait jamais d' évoquer ces origines lors de querelles avec les voisines . Elles osa même soutenir devant Rahma que nous étions d' authentiques descendants du Prophète ).
L'auteure clôt le premier chapitre par une rixe des plus spectaculaires opposant la mère du narrateur et Rahma, la femme de Driss El Aouad, la fabriquant de charrues dont le motif n' est auteur due le patio. Quelquefois un incident de incident de mince importance prenait des proportions de catastrophe. ( Ainsi en fut-il quand Rahma eut l'idée néfaste de faire sa lessive un lundi. Il était établi que ce jour-là appartenait exclusivement à ma mère.).
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